Soixante et unième jour — Samedi 25 Juin
Il faisait déjà chaud quand je me suis mis en route pour gravir le toit pyrénéen de mon tour de la France.
La vidéo du parcours de l’étape
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Vidéo générée par l’application Relive
C’est déjà très pentu dans la traversée de Barèges mais cela va bien se passer. Les pourcentages restent en dessous de 10% pendant toute l’ascension sauf peut-être dans le dernier kilomètre où cela se redresse un peu.
Après 3 kilomètres seul, je commence à être dépassé par de nombreux cyclistes partis eux aussi à l’ascension du géant pyrénéen. De nombreux saluts amicaux et encouragements me seront adressés tout au long de mon ascension.
J’arrive sans trop de peine au sommet.
Ensuite je redescends dans la vallée jusqu’à Sainte-Marie-de-Campan où je tourne à gauche en direction du col d’Aspin. Je poursuis mon chemin et tourne à Payolle pour aller gravir la Hourquette d’Ancizan qui est pour moi l’un des plus beaux cols routiers pyrénéen. Le soleil tape dur et même si c’est le versant le plus facile, je multiplie les arrêts pour refroidir un peu le moteur.
Je ne peux pas récupérer dans une descente devenue piégeuse à cause du goudron qui fond et des gravillons. Le dénivelé de l’étape est conséquent et c’est relativement fatigué que j’arrive à St-Lary-Soulan
Désolé pour la qualité des photos cet après-midi : c’est en déchargeant les photos sur l’ordinateur que je me suis aperçu qu’il y avait une trace de doigt sur l’objectif.
Etape-57
Barèges → Vignec à côté de St Lary-Soulan 64 km
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