Jour 10 — Jeudi 24 Mai

Il fait un beau ciel bleu, sans nuages, au départ ce matin. La température est autour de 20° et c’est la première fois depuis le début du voyage que je peux partir en manches courtes.

La vidéo du parcours de l’étape

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Vidéo générée par l’application Relive

Quatre kilomètres d’échauffement jusqu’à Argenteuil-sur-Armençon où je peux photographier le beau lavoir.

Et c’est parti pour la première longue côte pour monter sur un plateau avant de redescendre sur Noyers.

Noyers est un bourg médiéval que je prends le temps de visiter à pied à côté du vélo. C’est un peu dommage que la rue principale soit ouverte à la circulation alors qu’il existe, tout près, une route à l’extérieur des remparts.

Je quitte Noyers et sa circulation automobile.

Et j’attaque la deuxième grande montée de la journée qui me conduit sur un plateau, puis un toboggan avant de redescendre pour rejoindre Arcy-sur-Cure, connue pour ses grottes préhistoriques. Il est 14h30 et le bourg est désert et je continue ma route. Encore une bonne montée, sous une chaleur encore supportable,  qui me conduit sur un nouveau plateau où les petites côtes alternent avec de courtes descentes puis je rejoins la vallée de l’Yonne et la voie verte au bord du canal du Nivernais.

Encore quelques kilomètres sur la voie verte longeant le canal du Nivernais et je plante la tente au camping de Châtel-Censoir qui est au bord du canal. Il y a tout un groupe d’un club cyclotouriste et ils sont forts accueillants. Il fait très beau, c’est le premier soir où je n’ai aucune crainte d’orage. Aujourd’hui c’était encore une étape accidentée, les jambes répondent. Dans deux jours en Sologne et du côté de Chambord, je devrais pouvoir souffler un peu sur des routes plus planes.

La trace GPS de l’étape